L'influence étrangère aux États-Unis est à son plus haut niveau. Les rapports déposés via le FARA (Foreign Agents Registration Act) racontent l'histoire. De nombreuses nations paient pour influencer aux États-Unis. Ce qui est inhabituel avec le Qatar, c'est qu'ils dépensent également pour les universités, les équipes sportives, le lobbying au Congrès et ils financent la construction de mosquées PARTOUT. Aucun autre pays n'est aussi complet dans sa recherche d'influence aux États-Unis. Le Qatar figure parmi les 3 principaux dépensiers sous le FARA, investissant des millions dans le lobbying et les relations publiques aux États-Unis. Ce n'est pas de la diplomatie. C'est de l'influence étrangère—achetée et payée.