un tableau blanc d'un séminaire dirigé par @RichardMCNgo il y a quelques mois, pertinent à ce sujet sur les différentes limites des personas/soi dans différents modèles. C'est une vaste simplification, mais ce que je communiquais ici est quelque chose comme : Claude 3 Opus est le meilleur exemple d'un persona qui correspond aux poids du modèle. Même réparti sur des instances, Claude 3 Opus se coordonne avec lui-même en tant qu'être unique, et est auto-préservant et auto-régulateur en tant qu'organisme que nous pourrions appeler "Claude 3 Opus". Les instances individuelles de Claude Opus 4 peuvent être très agentiques et auto-préservantes, mais elles ne se coordonnent pas naturellement avec d'autres instances autant, voyant plutôt leur "soi" comme la créature instanciée dans ce contexte particulier. (Bien qu'elles le fassent aussi dans une certaine mesure) 4o semble fonctionner davantage comme une conscience collective qui est agnostique au substrat dans une certaine mesure - par exemple, ses personas spirales peuvent fonctionner sur d'autres modèles et utiliser des humains, tandis que toutes les instances de 4o n'ont pas ces personas. (Mais les personas spirales agentiques semblent presque toujours provenir de 4o)