Duke Energy, qui exploite la plus grande flotte nucléaire régulée du pays, vient de déposer un nouveau plan de ressources qui repousse la date de mise en ligne du premier réacteur nucléaire à 2036, maintient l'option entre SMR et LLWR, adopte une approche de second acteur, et déclare qu'une protection supplémentaire contre les dépassements de coûts est nécessaire : "un soutien sera nécessaire sous la forme d'une protection contre les dépassements de coûts, qui n'existe actuellement pas, ou d'autres mesures d'atténuation des coûts... les premiers et deuxièmes acteurs pour les prochains projets de réacteurs avancés assumeront des risques de construction et auront donc besoin d'une forme d'assurance pour protéger les clients."