Life Biosciences annonce qu'elle prévoit de commencer les premiers essais humains de reprogrammation épigénétique partielle en 2026, une étape que beaucoup dans la science de la longévité attendent. L'idée est radicale mais précise : remonter le temps de l'âge cellulaire sans effacer l'identité des cellules. Restaurer la fonction, pas réinitialiser à zéro. Si cela fonctionne chez les humains, le vieillissement cesse d'être quelque chose que nous gérons seulement et commence à devenir quelque chose que nous inversions activement. Cependant, c'est la partie difficile. Les miracles chez les souris sont faciles. La sécurité, le dosage et le contrôle chez l'homme sont là où les théories deviennent soit des médicaments, soit disparaissent.