J'ai gagné plus d'un million de dollars sur @Polymarket. Voici comment. Réellement, mon profit aurait dû être bien supérieur à 10 millions, mais je ne vais pas m'attarder là-dessus. Un jour, je scrollais sur X et un titre disait que "quelqu'un avait gagné 10 000 $ en pariant qu'Israël frapperait Gaza aujourd'hui". (Contexte bref, je connaissais Polymarket et j'avais été semi-activement en train de trader depuis plus d'un an à ce moment-là.) Immédiatement, ça a fait tilt. J'ai vérifié Polymarket et réalisé qu'il y avait un marché oui/non sur les frappes israéliennes chaque jour. Alors, que fais-je ? Je réserve le prochain vol pour Tel Aviv. J'ai tout laissé tomber et je suis monté dans un avion. J'ai atterri en Israël, loué un vieux Jeep, et conduit directement à la frontière. J'ai traversé à Gaza sous le prétexte d'être un "journaliste freelance" (car les marchés donnent les rapports les plus précis et rapides). Je me suis installé dans ce petit appartement poussiéreux à Gaza City, en plein cœur de l'action. La première chose que je fais ? Commencer à construire mon réseau. Je me lie d'amitié avec le gars des falafels local, Ahmed. Il a des oreilles partout, sait quand les camions bougent, quand les sirènes peuvent retentir. Je lui glisse quelques dollars et bam, il est mon premier informateur. "Ahmed, des bruits du ciel aujourd'hui ?" Je demandais autour d'un pita. Il clignait de l'œil et disait : "Pas encore, mais les oiseaux sont silencieux." Code pour "les jets de Tsahal se ravitaillent." Le lendemain, j'élargis l'opération. J'ai recruté une conductrice de taxi nommée Fatima qui transporte des gens autour de la bande. Elle a un scanner radio réglé sur les fréquences militaires, ne demande pas comment, mais disons juste que ça implique un cousin dans les tunnels. Elle m'envoie des vibes : "Le trafic est léger près de la clôture. Quelque chose se prépare." Ce renseignement va directement sur Polymarket, ajustant mes paris en temps réel. J'ai misé tout sur "oui" quand elle a repéré une activité de drone inhabituelle. Au troisième jour, j'avais toute une équipe. Il y a Omar, le pêcheur qui scrute l'horizon depuis son bateau, repère les mouvements navals avant tout le monde. Layla, l'enseignante avec une vue sur les points de contrôle clés depuis son balcon. Elle a même impliqué un gamin avec un hobby de drone (le petit fait des missions de reconnaissance pour des barres chocolatées). Nous étions comme un Mossad à petit budget, mais au lieu d'espionnage, il s'agissait de réussir le rêve américain : Accomplir tout ce que je me fixe comme objectif. Ahmed, Fatima, Omar, Layla et le gamin sont tous en sécurité dans mon nouveau penthouse ici à Dubaï. La famille se trouve, elle ne se donne pas.