1/ La loi GENIUS entrera bientôt en vigueur. Pour les dirigeants, elle fait plus que clarifier les règles : elle impose un choix. 🔀 Allez-vous considérer cette nouvelle technologie comme un simple service public ou comme l'architecture ouverte fondamentale pour les paiements ?

2/ Pendant des décennies, l'antagoniste a été le monde des paiements, étrangement familier. Un fief privé fonctionnant avec des péages qui prélèvent une taxe privée de 187 milliards de dollars sur l'économie.

3/ Son brillant schéma marketing ? Inonder les consommateurs de récompenses financées par les commerçants pour qu'ils croient qu'ils obtiennent un service gratuit. Pendant une décennie, la fintech n'a fait que mettre une belle interface utilisateur sur la plomberie d'hier.

4/ Mais le GENIUS Act est un tournant. C'est un feu vert pour frapper un grand coup dans l'infrastructure vieille de 50 ans. Ce n'est pas juste une nouvelle couche de peinture : c'est changer la plomberie" C'est un passage de la spéculation à l'utilité, guidé par la réglementation.

5/ La nouvelle technologie révèle que les entreprises les plus avisées n'étaient jamais seulement dans le secteur que vous pensiez. Les compagnies aériennes sont deux entreprises : une société de logistique à faible marge et une société financière extrêmement rentable qui imprime sa propre monnaie privée.

6/ Starbucks ? C'est effectivement une banque en tout sauf en nom et en licences, détenant 1,9 milliard de dollars comme un prêt sans intérêt de ses clients. La stratégie est toujours la même : une fois que vous avez la confiance d'un client, la prochaine étape logique est de devenir leur "banque".

8/ Chemin 2 : Le jeu stratégique de la plateforme. C'est le point d'inflexion auquel IBM a été confronté avec Microsoft dans les années 1980. Vos comptes de confiance sont le "matériel". Les stablecoins programmables sont le nouveau système d'exploitation pour la valeur.