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Rock Chartrand
- Liberté, droits individuels, capitalisme -
Jugez et préparez-vous à être jugé.
Affirmer que quelqu'un vous "tue" parce qu'il ne vous laisse pas vivre de son travail est le cri de ralliement du loser parasitaire dans le déni.
Personne ne vous tue en refusant d'être exploité. Personne ne vous doit de vivre. La survie ne vous accorde pas un droit moral sur le temps, l'effort ou les gains d'une autre personne.
Cet état d'esprit nécessite de redéfinir l'indépendance comme de la cruauté et la dépendance comme de la justice. Une fois que vous acceptez ce postulat, le vol devient de la compassion et la productivité devient de l'oppression.
Ce n'est pas un sérieux moral. C'est un sentiment d'appartenance déguisé en victimisation.
9
Tout le monde qui applaudit la planification centrale s'imagine en tant que planificateur. Le sage. L'humain. L'exception. Mais il n'y a pas de planificateur qu'ils approuveraient réellement, car au moment où le pouvoir est centralisé, il cesse d'être abstrait et devient une personne, avec des incitations, des intérêts et des outils d'application.
Et la gauche ne peut même pas s'accorder sur elle-même lorsque le pouvoir est diffus. Une fois qu'il est concentré, les luttes internes ne disparaissent pas. Elles se règlent simplement par la force au lieu de l'argument.
Chaque faction croit que sa vision morale sera imposée. Chaque faction croit que les autres sont dangereuses. Ainsi, le seul résultat cohérent est des purges, des contrôles et de la conformité.
La planification centrale n'élimine pas le conflit. Elle l'arme.
Et l'ironie cruelle est la suivante : les personnes exigeant un "contrôle collectif" ne gagnent pas du tout le contrôle. Elles l'abandonnent. Pas seulement sur les marchés ou la production, mais sur la parole, le mouvement, le travail et la vie privée. Le plan remplace leurs plans.
La liberté permet à un million de visions différentes de coexister. La planification centrale n'en permet qu'une seule.
Et ce n'est jamais la leur.
39
L'Amérique n'est pas un capitalisme de laissez-faire. C'est une économie mixte où le pouvoir politique est constamment utilisé pour déformer les marchés, choisir des gagnants, protéger des échecs et carteliser des industries. De nombreuses injustices réelles et concentrations de pouvoir proviennent de cette ingérence politique, et non d'un échange libre.
Mais c'est exactement là que l'argument de Robert Reich s'effondre.
Il n'est pas opposé au pouvoir. Il est opposé à ceux qui le détiennent.
Il dénonce la "richesse concentrée" tout en exigeant l'institution la plus concentrée imaginable : un gouvernement ayant le pouvoir de saisir, redistribuer, réglementer et commander à volonté. Il ne veut pas moins de pouvoir dans l'économie. Il veut plus de pouvoir en politique, exercé par des personnes qui partagent ses préférences.
Lorsque les entreprises font pression sur l'État, Reich appelle cela de la corruption.
Lorsqu'il fait pression sur l'État pour contrôler les entreprises, il appelle cela de la démocratie.
Ce n'est pas une opposition à la règle des élites. C'est une demande de remplacer une élite par une autre et de se rapprocher, lui et ses alliés, des leviers du pouvoir.
Un marché véritablement libre disperse le pouvoir car il force la persuasion au lieu de la coercition. Vous ne pouvez obtenir de la richesse qu'en servant les autres volontairement. Les systèmes politiques concentrent le pouvoir car ils remplacent le consentement par le commandement.

Robert Reich15 déc., 03:12
Poverty is a policy choice. Concentrated wealth is a policy choice. Inequality is a policy choice. None of it is natural or inevitable. Remember: We have the power to build a system that serves the many, not the powerful few.
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